
Edito du fondateur
Face au développement accéléré de notre monde, qui présage sans aucun doute l’épuisement de certaines matières premières, il est impossible de ne pas tenir compte des facteurs environnants. Nous devons apprendre à faire autrement, à travailler et produire de manière plus vertueuse, pour que le vivre ensemble soit possible.
C'est pourquoi j'ai choisi d'investir dans les secteurs de la transition énergétique, de l'industrie, de l'architecture et du design. Je suis convaincu qu'en nous appuyant sur un haut niveau de qualité et d'innovation, nous avons le moyen de rénover la France et d'exporter notre savoir-faire sur les marchés internationaux, tout en maintenant les emplois sur notre territoire.
100% Française
Nos chiffres clés
150
collaborateurs
160
années
d'expertise cumulées
86
nouvelles machines
de pointe
Les Manufactures Février soutient la danse contemporaine à Bordeaux !
La chorégraphe Christine Hassid nous apprend à déplacer le regard avec sa création « N’ayez pas peur ! »
Notre dénicheur de talents, Coq Héron Productions est fier d’accompagner la nouvelle création de la compagnie Christine Hassid Project. La talentueuse chorégraphe bordelaise Christine Hassid fait sa première de N’ayez pas peur ! à l’Espace Treulon le 7 novembre à Bruges (Bordeaux métropole). Christine est l’artiste associée de la ville de Bruges depuis plus de trois ans.« Ne pas avoir peur…mais de quoi ? D’être une femme, d’assumer un regard féminin sur la danse et le monde, de faire entendre sa voix, » écrit la journaliste Stéphanie Pichon dans Junkpage.
Dans cette pièce pour 5 danseurs, la beauté de la chorégraphie est mise en exergue par des ambiances lumineuses colorées et une scénographie aérienne. Un plafond composé de laizes de papier, conçu par la scénographe Angèle Fachan, évoque un plafond de verre, « avec tous les interstices à explorer ou toutes les raisons de se dire que le monde ancien se fissure, » rajoute Pichon.
Le créateur lumière Michael Varlet, alias Caillou, a collaboré avec Thomas Watt Lighting Pro pour imaginer une création lumière d’un esthétisme rare. Un éclairage scénique composé de LEDs connecté en DMX permet une poésie visuelle, accompagnée d’une sélection de musique étonnante. Les jeux de transparence des laizes de papier en gradation se marient parfaitement avec les mouvements des couleurs et des danseurs, synchronisés à la perfection.
« L’art chorégraphique met en scène le corps, donc le genre. La danse contemporaine pense la recherche de libertés, de nouvelles perspectives et de définitions de soi. Il est alors légitime d’en étudier son féminisme potentiel et réel, » nous explique la chorégraphe. Christine Hassid ne cesse de nous impressionner avec une chorégraphie qui brille par la puissance du langage corporel et la beauté plastique de la mise en scène.
Cette femme chorégraphe « continue à creuser son sillon chorégraphique singulier »* dans le Sud-Ouest, Avignon l’été prochain et bientôt Paris.
*Découvrez l’article « Bravache » dans le journal JUNKPAGE #72 | Novembre 2019.
N’AYEZ PAS PEUR !
Jeudi 7 novembre à 20h30
Espace culturel Treulon – ville de Bruges, Bordeaux Métropole
Chorégraphe : Christine Hassid
Danseurs : Alizée Duvernois, Océane Sasizza, Rafke Van Houplines, Thomas Queyrens, Guillaume Zimmermann.
Dramaturge : Pierre Boisserie
Lumières : “Caillou” Michael Varlet
Scénographie : Angèle Fachan
Costumes : Chouchane Abello assistée de Jean Doucet
Production : Marion Morin
Partenaires : Opéra National de Bordeaux, Ministère de la Culture – DRAC Nouvelle Aquitaine, OARA (Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine), IDDAC, Coq Héron Productions, ADAMI, CCN Malandain Ballet Biarritz, CCN de la Rochelle, Ville de Bruges, Espace Treulon, Le Parnasse de Mimizan, Micadanses
Mécènes : Condor Entertainment et A. Contant., Conservatoire à rayonnement intercommunal Roger Damin de Villejuif
Crédit photo © JanPol
Entre-deux, Une Architecture de la Résonance: Les Manufactures Février soutiennent l'exposition de Pauline Marchetti

Architecture de la résonance
Le Centre de design de l’UQÀM, Université du Québec à Montréal, accueille Ferrier Marchetti Studio et son approche sensorielle du design urbain pour sa première exposition nord-américaine.
Dates : 18 septembre au 27 octobre 2019
Commissaires : Louise Pelletier, directrice du Centre de design de l’UQÀM; Philippe Lupien, architecte et professeur à l’École de design de l’UQÀM et Pauline Marchetti, associée, Ferrier Marchetti Studio.
Architecture de la résonance
Dans son livre Résonance, une sociologie de la relation au monde le philosophe Hartmut Rosa écrit : « tout dans la vie dépend de la qualité de nos relations au monde ».
Principes directeurs
L’approche architecturale du Ferrier Marchetti Studio réside en huit piliers du design. La résonance s’attarde sur les relations significatives entre les gens, les lieux et l'histoire, alors que la synergie avec le climat privilégie une architecture qui embrasse les conditions climatiques ambiantes au lieu de les nier.
L’esthétique de l'utile se penche sur la valeur d’un projet comme répondant à un usage plutôt qu'à une approche formaliste pour trouver un rôle social, efficace et utile à long terme. Les sens et les plaisirs placent l’expérience humaine au cœur de tous les nouveaux projets, alors que l’attention aux détails célèbre le savoir-faire et la matérialité dans une stratégie de frugalité constructive. Les paysages construits créent des écosystèmes reliant les villes à la nature, proposant une biodiversité urbaine. Le mouvement et l’équilibre explorent le rôle des infrastructures dédiées à la mobilité comme de nouveaux lieux de vie. Enfin, le sens du contexte traduit le fait que la méthodologie de conception de FMS est ouverte sur les influences locales et puise l'identité des projets dans le territoire et l'histoire du site.
Contact presse : Penelope Fortin,
Contact France: Marion Drevet
Le Raid Latécoère-Aéropostale, une aventure humaine extraordinaire

Les Manufactures Février sont heureuses d’annoncer leur soutien au Raid Latécoère-Aéropostale 2019.
Plus long raid aérien au monde, le Raid Latécoère-Aéropostale rassemble chaque année des passionnés d’aviation et d’histoire qui souhaitent réaliser en commun un projet d’intérêt général. Nous sommes fiers de pouvoir participer à cette aventure historique, expérience humaine et projet humanitaire par le biais du pilote Lucien Isnard.
Sur les traces de Saint Exupéry - Raid Latécoère-Aéropostale 2019
Rendez-vous aérien annuel en Afrique et en Amérique du sud, le raid parcourt chaque année les 40 escales de la Ligne.
Les Manufactures Février ont choisi de soutenir le pilote Lucien Isnard avec son Cirrus SR22 qui participera au tronçon Afrique du 14 au 28 septembre.
De Toulouse à Dakar, découvrez ici toutes les escales du raid:
Toulouse > Barcelone > Malaga > Casablanca > Essaouira > Tarfaya > Nouadhibou >
Dakar > Saint-Louis > Nouadhibou > Dakhla > Agadir > Fes > Malaga > Castellon
« Du vent, du sable et des étoiles. » Cette fameuse citation d’Antoine de Saint-Exupéry est inscrite sur les avions du Raid Latécoère-Aéropostale.
En participant au Raid Latécoère Aéropostale, nous :
- soutenons des projets solidaires centrés sur l'éducation et sur le développement de la Francophonie.
- contribuons à entretenir la mémoire des lignes aériennes Latécoère et Aéropostale qui font partie de notre patrimoine culturel.
Nous avons envie de prolonger l’action des pionniers en créant une chaîne culturelle et solidaire autour des valeurs de l’écrit pour le rapprochement des cultures. Cette aventure nous permet de transmettre les valeurs solidaires de paix, de partage, d’ouverture sur le monde et d’audace sur 18 000 kilomètres et de contribuer au développement de la Francophonie.
Une action culturelle, solidaire, respectueuse de l'environnement
Le Raid Latécoère-Aéropostale tient à rappeler l’esprit humaniste du fondateur de la première ligne transcontinentale. Plusieurs écoles ont été construites ou aménagées (Mauritanie et Sénégal). Des fournitures scolaires et du matériel sportif sont distribués tout au long de l’année. Des associations locales sont soutenues et des baptêmes de l’air sont offerts aux écoliers. Les pilotes transportent également le courrier d’élèves, transmis à d’autres élèves de la Ligne. Avec Lionel, nous parrainons une classe d'un établissement scolaire situé au Maroc dans le cadre du Projet Educatif Artistique et Culturel/OSUI.
« L’exploration est un état d’esprit : aller au-delà des évidences et entrer dans l’inconnu pour remettre en question les certitudes. L’aventure n’est pas forcément un acte spectaculaire, mais plutôt un acte « extraordinaire », c’est-à-dire quelque chose qui nous pousse hors de notre façon habituelle de penser et de nous comporter. La plupart du temps, ce ne sont pas les limites qui nous empêchent d’accomplir nos rêves, mais les limitations que nous nous fabriquons et nous infligeons à nous-mêmes. » - Bertrand Piccard, parrain de l’édition 2019
Un événement historique et aéronautique
« J'ai fait tous les calculs. Ils confirment l'opinion des spécialistes : notre idée est irréalisable. Il ne me reste plus qu'une chose à faire : la réaliser. »
Cette phrase avait été prononcée par Pierre-Georges Latécoère en 1918 quand germa en lui l’idée d’une ligne aérienne reliant la France au Sénégal en passant par l’Espagne et le Maroc. Un pari fou à l’époque.
C'est ainsi qu'il y a 100 ans, un petit groupe de pionniers se lançait dans un pari insensé : "Relier les hommes et les continents par l'aérien."
Leurs noms sont restés dans la mémoire collective ; ils s'appelaient Latécoère, Mermoz, Saint-Exupéry, Guillaumet.. Ensemble, ils ont fait vivre l'Aéropostale.
Champs d'amours, 100 ans de cinéma arc-en-ciel

Le groupe Les Manufactures Février est heureux d'investir les espaces d'exposition du majestueux Hôtel de Ville avec de nouveaux sols imprimés sur dalles de moquette, fabriquées par l’usine française TecSOM.
Après un couloir de rappels historiques et cinématographiques aux couleurs de l’arc-en-ciel, les visiteurs pourront déambuler dans huit salles thématiques qui explorent les questions du Paris gay, de la censure, des festivals et des succès grands publics.
La scénographie de cet espace reflète à la fois les histoires d’amours racontées dans les films présentés dans cette salle mais aussi l’universalité de ces scénarios autour du monde. L’impression du motif de notre planète bleue (ci-dessous) géante au centre de la salle, sur laquelle est posée en équilibre un immense cœur rouge, permet de traduire l’idée que partout dans le monde, le cinéma LGBTQI+ parle avant tout d’amour, de tous les amours.
« Champs d’Amour » prend pour point de départ le 28 mai 1919, date où le premier film à caractère explicitement homosexuel est projeté à Berlin. Il s'agit de Différent des autres (Anders als die Ander) de Richard Oswald.
Le film est aussitôt censuré, puis les copies sont détruites. Il faut attendre la fin des années 1970 pour découvrir une copie en Ukraine. Pendant cinquante ans, à part quelques rares exceptions, le cinéma homosexuel reste dans l'invisibilité, au mieux dans le non-dit.
Fin juin 1969, les émeutes de Stonewall sont le point de départ du mouvement de libération gay et lesbien: dans son sillon, s'épanouissent sur les écrans des films enfin sans tabous. En 2013, La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche reçoit la Palme d'Or à Cannes. En 2017 c'est l'Oscar avec Moonlight de Barry Jenkins, et en 2018 le César pour 120 battements par minute de Robin Campillo.
C'est cette histoire sur cent ans, où se lient intimement cinéma et évolution des mœurs, que "Champs d'amours" propose de raconter, à travers des extraits de films, mais aussi des affiches, des installations, des œuvres artistiques et des archives inédites. Comédies populaires, documentaires, biographies, films rares et militants, histoires d'amour du monde entier : pour la première fois, une exposition met en lumière (toutes) les couleurs du cinéma arc-en-ciel.
Cette exposition est le fruit d'un travail remarquable de la part du commissaire général Alain Burosse et de ses quatre co-comissaires Laurent Bocahut, Michèle Collery, Jean-Baptiste Erreca et Didier Roth-Bettoni en collaboration avec la Cinémathèque française.
En parallèle de l’exposition, les visiteurs pourront poursuivre leur chemin en allant voir la rétrospective « Libérations sexuelles, révolutions visuelles » du 19 juin au 11 juillet 2019 à La Cinémathèque française. Une programmation de Nicole Brenez et Stéphane Gérard. Un mois de cinéma enfiévré, en une trentaine de séances révoltées, à l’assaut aussi bien des préjugés que des carcans esthétiques.
Plus d’infos http://www.cinematheque.fr
Crédit photo d'introduction: Moonlight - Réalisateur : Barry Jenkins - Personnages : Juan (Mahershala Ali) et Little (Alex R. Hibbert) © Mars Films


Imprimé Arc-en-ciel Imprimé planète bleue

Exposition gratuite du 25 juin au 28 septembre 2019 à l'Hôtel de Ville de Paris Salle Saint-Jean. Accès par la rue Lobau.

Imprimé Keith Haring

Imprimé Jardin des Tuileries